Tableaux

Les tableaux utiles au développement du sujet ou utilisés dans le développement sont intégrés directement au texte du travail. Il faut y ménager suffisamment d’espace entre les lignes et les colonnes pour que les données qu’on y consigne soient lisibles.

Remarque
Dans certaines normes, on va jusqu’à recommander de séparer chaque nouvelle ligne du tableau par une ligne vide ; en l’absence d’une telle contrainte, on peut se contenter de fixer une marge intérieur d’un ou deux millimètres dans chaque cellule du tableau.

Les tableaux utiles au développement du sujet ou utilisés dans le développement peuvent également être regroupés à la fin du travail où on leur donne un numéro d’ordre, ainsi qu’une légende.

Selon le cas, le groupement des tableaux dans l’annexe double l’insertion de chaque tableau dans le corps du travail ou se substitue à celle-ci. Regrouper les tableaux en fin de travail peut s’avérer intéressant si un même tableau est appelé plusieurs fois dans le corps travail ; on évite ainsi de reproduire plusieurs fois le même tableau. Dans les autres cas, il est mieux d’insérer directement les tableaux dans le travail à l’endroit approprié.

La numérotation des tableaux annexés s’établit d’une manière continue  soit en chiffres arabes, soit en chiffres romains majuscules pour les différencier des figures soit selon la numérotation pseudo-décimale, selon l’ordre dans lequel on les commente dans le corps du travail.

Dans le travail, on référera aux tableaux par l’abréviation « Tabl. », placée entre parenthèses, suivie d’une espace insécable et du numéro d’ordre du tableau :

(tabl. XVIII)

Chaque tableau s’accompagne de la légende qui l’identifie ou l’explique, présentée à interligne simple.

Dans la légende, le mot « Tableau » est suivi du numéro d’ordre puis de la légende, le tout en minuscules.

Tableau XVIII – Données collectés durant la 1re phase de l’expérimentation

Mais non, vous ne vous êtes pas perdu !