La table des matières reprend tous les titres (et éventuellement leurs sous-titres) et intertitres du travail ; elle ne peut faire l’économie d’aucun des niveaux de subdivision. Dans l’agencement des différentes parties du travail, elle suit directement la partie consacrée aux références bibliographiques – en quoi elle se distingue fondamentalement du sommaire, positionné en début de travail.
Remarque
Une table des matières en début de travail dénonce l’usage anglo-saxon, qui ne différencie pas table des matières et sommaire.
La table des matières ne peut contenir aucun caractères soulignés. Les capitales et italiques ne peuvent y apparaitre qu’aux endroits où elles sont préconisées dans le texte courant. Les gras peuvent éventuellement être utilisées pour le titre des divisions majeures (parties). Le renvoi au numéro de page est aligné sur la marge de droite ; les pointillés guides entre les titres et le numéro de page sont recommandés.
Les traitements de texte génèrent automatiquement les tables de matières pourvu qu’on utilise les feuilles de style dans la mise en page du travail. C’est là une raison supplémentaire pour user d’emblée des feuilles de style et automatiser la présentation formelle des paragraphes.