Le volume d’un travail peut être précisé dans les consignes données aux auteurs.
Dans le cadre d’un mémoire, ce volume est généralement spécifié en nombre de pages, ce qui ne constitue un moyen judicieux de quantifier un travail que si cette consigne s’accompagne de contraintes très strictes sur la mise en forme des paragraphes, sur le nombre des images, figures et tableaux qu’on est autorisé à insérer et sur leurs dimensions, etc.
La plupart des logiciels de traitement de texte intégrant désormais des fonctions statistiques, le volume des travaux demandés aux étudiants est de plus en plus souvent formulé en nombre de mots ou de caractères pour l’ensemble du travail.
Le nombre donné est alors un nombre maximal ou établit une fourchette entre un seuil minimal et un seuil maximal à ne pas dépasser. Dans le cas du nombre des caractères, le nombre peut être spécifié par page, quand il s’agit de compléter et préciser une quantification du volume en nombre de pages.